Released in September 2013, the third single from Racine Carrée, Tous les Mêmes, orchestrates a sharp critique of gender stereotypes with humor, choreography, and visual finesse. Directed by Henry Scholfield and choreographed by Marion Motin, the video is a vibrant theatrical performance that blurs the lines between male and female perspectives.
At the heart of this piece lies Stromae’s half-man, half-woman character, a visual gimmick that has since become iconic. Draped in green and pink—the visual shorthand for men and women—the character gives life to the song’s satirical exploration of gender clichés. Through sharp lyrics and dual viewpoints, Stromae calls out the biases, expectations, and prejudices that shape our understanding of relationships.
Set against a backdrop of seamless choreography and dynamic, mobile staging, Stromae’s dual character moves through everyday settings that amplify the humor and tension in the song’s narrative. Marion Motin’s choreography perfectly complements the video’s fluidity, as Stromae navigates this caricatured confrontation of banal and modern clichés.
Sorti en septembre 2013, « Tous les Mêmes », troisième single de l’album Racine Carrée, orchestre une critique acérée des stéréotypes de genre avec humour, chorégraphie et finesse visuelle. Réalisé par Henry Scholfield et chorégraphié par Marion Motin, le clip est une performance théâtrale vibrante qui brouille les frontières entre points de vue masculin et féminin.
Au cœur de cette pièce se trouve le personnage mi-homme mi-femme de Stromae, devenu emblématique. Vêtu de vert et de rose — raccourcis visuels pour les genres masculin et féminin — ce personnage donne vie à la satire du morceau sur les clichés de genre. À travers des paroles acérées et une narration à double voix, Stromae dénonce les biais, attentes et préjugés qui façonnent notre vision des relations.
Sur fond de chorégraphies fluides et d’une mise en scène dynamique, le double personnage de Stromae traverse différents décors du quotidien, amplifiant l’humour et la tension du récit. La chorégraphie de Marion Motin sublime la fluidité de la vidéo, tandis que Stromae navigue au cœur de cette confrontation caricaturale entre clichés modernes et lieux communs.


















